Réduire son budget assurance : dialogue entre dirigeants et expert du courtage

INVITATION WEBINAR DU 20 JUIN
Profitez de ce moment d’échange pour poser vos questions sur vos assurances, leur couverture, leur rapport garantie/coût.
Interview de Maurice SALVATOR dans "Le tête à tête Décideurs" sur BFM TV
La remise en cause des assurances de groupe
M. Philippe REMOND, Directeur Administratif Fremont SAS : Heureux de vous retrouver, chers collègues ! Ma direction me demande de remettre en cause l’ensemble des assurances de notre groupe, avec un objectif : réduire de 20% notre budget assurance. Comment procéder ?
M. Jean-François ROBERT, PDG BSF International : Dans notre groupe, nous avons tenté une consultation directe des compagnies. Beaucoup nous ont adressé à l’un de leurs agents ou courtiers.
Mme Marie-Désirée GERARD, PDG PHARMACOP : Dans notre société, nous nous sommes adressés à un cabinet d’audit spécialisé.
M. Renaud FIGEAC, Risk Manager Groupe PARISOL : Nous avons fait hélas de même. Mais les auditeurs ont tendance à vous emprunter votre montre pour vous donner l’heure ! Quant à la négociation des contrats, ils nous renvoient vers les professionnels.
M. Philippe REMOND : Les « professionnels de l’assurance », vous entendez certainement agents et courtiers. M. Salvator du cabinet GESCO, quel réseau doit-on privilégier ?
Maurice SALVATOR : A ma connaissance, les agents sont mandatés par une compagnie pour rechercher des assurés. Déontologiquement, l’agent doit donc vous présenter en priorité la proposition de sa compagnie.
M. Renaud FIGEAC : Mais vous, M. Salvator, vous êtes courtier ?
Maurice SALVATOR : Oui, je suis courtier, et je suis donc mandaté par un assuré pour lui trouver la compagnie la plus à même de répondre à ses besoins.
M. Renaud FIGEAC : Et dans ce cas-là, peut-on mettre en concurrence différents courtiers ?
Maurice SALVATOR : Oui, c’est possible. Sous réserve d’attribuer à chacun des courtiers sollicités des mandats d’étude pour une liste limitative de compagnies. Il faut éviter qu’une même compagnie reçoive une même demande de la part de plusieurs intermédiaires.
M. Jean-François ROBERT : Pour quelle raison ?
Maurice SALVATOR : Il se peut qu’une compagnie bien disposée à l’égard de vos risques souhaiterait répondre, mais à l’abri des regards indiscrets.
Naaïma, GESCO : Mais l’approche du marché par un seul courtier préalablement sélectionné nous paraît beaucoup plus efficace.
Intervenante 1 : Monsieur Salvator, vous nous avez éclairés sur la façon d’aborder les compagnies, mais l’optimisation d’un programme d’assurance est une tâche plus globale.
Maurice SALVATOR : En effet, et pour ce faire, nous disposons d’équipes pluridisciplinaires, susceptibles d’intervenir tant en audit de risques que sur la rédaction des futurs contrats et leur placement auprès des compagnies.
M. Jean-François ROBERT : Sans facturation d’honoraires ?
Maurice SALVATOR : Sans facturation d’honoraires si, au terme de la mission, la gestion des contrats nous est confiée.
M. Philippe REMOND : Et dans le cas où la gestion des contrats ne vous est pas confiée ?
Maurice SALVATOR : Dans ce cas, nous convenons généralement de percevoir des honoraires limités à 50% de l’économie réalisée sur le budget assurance au titre de la seule première année de mise en application.
Naaïma : Et pour lancer un appel d’offres : 01 48 37 68 68
Pour tout renseignement sur le D.U.E.R.P., contactez GESCO au 01 48 37 68 68 ou cliquez sur le lien ci-dessous :