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« Suite au prochain numéro » ou l’histoire vraie d’un faux sinistre RC

gesco2025-07-24T16:31:22+02:00

Chapitre 1 | Chapitre 2 | Chapitre 3

Suite au prochain numéro ou l'histoire vraie d'un faux sinistre RC - Chapitre 1















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Interview de Maurice SALVATOR dans "Le tête à tête Décideurs" sur BFM TV


Un sinistre RC Pro, raconté en BD

Découvrez « Suite au prochain numéro », une histoire romancée signée GESCO Assurances. Cette BD inspirée d’un sinistre en Responsabilité Civile Pro (RC Pro) illustre comment un événement banal peut vite devenir un vrai casse-tête assurantiel !

 

Présentatrice du JT : Mauvaise nouvelle pour notre économie locale. A peine l’ancienne marque Panhard ressuscitée qu’elle a dû mettre en place une procédure de chômage partiel. Notre envoyé spécial est sur place.

Envoyé spécial du JT : Que s’est-il passé, M. le Directeur ?

Directeur de Panhard SA : Un retard de livraison de notre sous-traitant, les Ets VIGIER, a entraîné un arrêt de la chaîne. Pour en limiter l’impact, nous avons été amenés à stocker nos automobiles sur une aire de stationnement provisoire, ce qui représente des coûts importants. Et, en attendant, nous avons été contraints à mettre une partie de notre personnel en chômage partiel.

Le lendemain, réunion de crise chez VIGIER S.A. De gauche à droite, Francis, Responsable Juridique, Marc, PDG, Patrice, Responsable Logistique.

Marc : Ce retarde de livraison, Patrice, à quoi est-il dû ?

Patrice : A une mauvaise organisation, dont je porte l’entière responsabilité. Encore que…

Marc : Encore que ?…

Patrice : Encore que celle-ci ait été validée par le cabinet d’audit qui a vérifié nos process, l’année dernière.

Marc : J’ai déjà reçu une mise en cause de principe de la part de Panhard. L’addition sera salée. L’avez-vous estimée, Francis ?

Francis : Dans un premier temps, afin d’éviter l’aggravation de l’arrêt de chaîne, j’ai appris que notre client avait stocké 200 véhicules sur une aire de stationnement. Le coût de cette immobilisation étant de 1.000€ par jour, et les équipements en pouvant être en chaîne avant 10 jours, le coût de cette erreur est au minimum de deux millions d’euros.

Marc : Bref, un gros sinistre de responsabilité professionnelle ! Pour lequel nous sommes assurés, je suppose !

Francis : Hélas non ! Car si notre contrat garantit bien les dommages causés par  un retard de livraison, la garantie est limitée aux cas où ce retard est dû à une cause accidentelle, un bris de machine, par exemple, ou un accident du camion qui livre les pièces.
En l’espèce, il s’agit  de la survenance de plusieurs petites erreurs qui, individuellement, n’auraient pas été graves, mais dont la concomitance a été dramatique.

Marc : Ce qui est dramatique, c’est l’incompétence concomitante des membres de la direction de cette entreprise ! La vôtre, Patrice, pour la mauvaise organisation de nos process, la vôtre Francis, pour le manque d’analyse de nos risques, mais, si ça peut vous consoler, le plus incompétent, c’est moi en tant que patron !
Mais, dites-moi, Francis, vous évoquiez l’audit qui a vérifié nos process… Je dois avouer que je l’avais perdu de vue. Mais du coup, il me vient une idée qui pourrait nous sortir de là. 
J’y réfléchis et reviens vers vous rapidement.

 

Une fois revenu dans son bureau, un verre de cognac à portée de main, Marc se remémore des événements intimes qui, n’ayant rien à voir avec les assurances, vont peut-être permettre de résoudre la crise.

 

Un an plus tôt

Marc : Tu vois, ce qui m’agace, chez toi et tes amis de gauche, c’est votre refus d’admettre le principe du  « Toujours plus », comme dirait François de Closets. C’est pourtant le moteur, quelque soit le niveau où tu es.
Le mérite personnel et la progression, c’est çe qui compte. Si j’étais musicien professionnel, et que je gagne 2000 € par mois, je serais plus heureux de progresser de 50% que d’augmenter mon salaire de PDG de 10%, même si ces 10% représentent 50 fois plus.

Pierre : C’est plutôt facile de dire ça quand on vit dans un joli duplex sur l’Ile St Louis et qu’on gagne ce que tu gagnes !

Marc : Ah, critique pas mon argent ! Non seulement je ne le vole pas, mais en faisant bien mon travail, je fais progresser ma entreprise. Et ça crée de l’emploi pour ceux qui en cherchent !

Pierre : La classique ! Franchement, tu n’as pas honte de débiter des clichés aussi démodés ? Et ceux à qui tu crées des emplois, , comme tu dis avec un soupçon de condescendance, comme si tu donnais une pièce à quelqu’un dans le métro…

Marc : Ah voilà, tu vas dire que je les exploite ! Et bien, oui, c’est vrai, je les exploite un peu, mais personne n’est forcé de travailler chez moi ! Et puis, s’ils font du bon travail, ils peuvent progresser, eux aussi !

Pierre : Progresser sur l’échelle sociale ? Tu plaisantes ! Elle est plutôt bancale, l’échelle sociale française, non ?

Marc : Mais arrête donc de râler sur la France ! Ici, même en étant pauvre, tu peux vivre dignement ! Le SDF dont du parles, ici, il est soigné gratuitement, il peut manger presque gratuitement, et même boire un verre grâce aux cafés sympas. A l’échelle mondiale, le SDF français est presque un privilégié !

Claire: Tu t’imagines, toi, dans la peau d’un SDF ?

Marc : Je suis certain qu’en jouant de la guitare dans le métro, je pourrais gagner facilement un SMIC et demi !

Pierre: Tu paries ?

Marc : Je serais ridicule de ne pas relever le défi ?

Pierre : On met quoi en jeu ?

Marc : Un dîner dans un restaurant étoilé ?

Pierre : Va pour le restau étoilé ! 

Marie-France : Quand ils ont un peu bu, j’ai l’habitude, ils ont tendance à exagérer.

 

Un mois plus tard

Marc : Oui, je sais, je chante atrocement faux. Mais je vous promets que j’utiliserai vos dons pour prendre des cours de chant !
Merci, jolie voyageuse, pour ce beau sourire !
Et maintenant, je lance un ultimatum : si je n’ai pas réuni 5 euros avant le prochain arrêt, je massacre une belle chanson de Brassens !

Quelques minutes plus tard, arrivée à destination, la jolie voyageuse envoie du quai à Marc un petit coucou.
Une heure plus tard, quai du Châtelet. Jean, SDF, la cinquantaine chauve, interpelle le guitariste

Jean : Comment tu fais pour récolter tant de pognon ?

Marc : C’est comme avec les femmes, mon pote : faut à la fois les émouvoir et les faire sourire !

Une heure plus tard, de retour à son bureau, Marc compte sa recette métropolitaine, quand son portable sonne.

Marc : Bonjour Pierre ! Vous allez bien, Claire et toi ?

Pierre : Hello, Marc ! Tout va bien. Nous parlions de toi, tout à l’heure.

Marc : Pour se payer ma tête, j’imagine !

Pierre : Evidemment ! Alors bravo ! Je ne pensais pas que tu passerais à l’action. Comment ça se passe ?

Marc : Et bien écoute, pas trop mal ! Mais bon, ce n’est pas gagné. Attends, je te laisse : ma secrétaire vient d’entrer avec sa tête des mauvais jours !

La secrétaire : Mauvaise nouvelle, Marc ! Un préavis de grève !

 

Marc reçoit Henri, le D.R.H. de VIGIER S.A.

Marc : Vous allez voir, Henri, ils ne sont pas tendres.

Henri : Vous-même ne l’êtes pas toujours !

Marc : Ce n’est pas de la tendresse dont ont besoin les salariés, mais d’une direction qui atteigne ses objectifs de rentabilité, qui permettent de les payer à la fin du mois ! Bon, vous m’écoutez ?

Henri : Je vous écoute !

Marc : « Nous reprochons à la direction de l’entreprise : 

  1. de sacrifier la santé morale et physique des salariés à la rémunération de l’actionnariat
  2. de ne tenir aucun compte des recommandations formulées par le médecin du travail, en matière de gestion de stress des salariés
  3. de n’avoir été préoccupée, à l’occasion du suicide, sur le lieu de travail, d’un de nos collègues, que du risque de grève qu’il entraînait

En fonction de quoi, notre syndicat notifie à la direction, conformément à l’article… etc… un préavis de grève.

Henri : C’est emmerdant !

Marc : Non, Henri, ce n’est pas emmerdant, c’est catastrophique ! Le marché des alternateurs PSA va monter en puissance. Ce n’est absolument pas le moment !

Henri : Que voulez-vous que je fasse ?

Marc : Organiser le plus tôt possible une réunion avec les cadres et les représentants des syndicats afin de gagner du temps, dégonfler la situation, et enfin de réfléchir ensemble à des solutions permettant, à terme, d’améliorer le climat social !

 

Une fois seul, alors que son visage fatigué se reflète dans le verre de cognac qu’il s’est versé

Marc : Je suis sûr que si j’en parlais à notre médecin du travail, il me conseillerait une petite cure de métro.

 

Quelques heure plus tard, en début de soirée.

Marie-France: Décidément, je ne m’y ferai pas ! A part ça, bonne journée  ?

Marc : Excellente ! J’ai fait 35€ dans le métro ! On va pouvoir manger, ce soir ! Tu sors ?

Marie-France: Je ne t’avais pas dit que j’avais un tournoi de bridge, ce soir ? Bon, je me dépêche, il est déjà presque 20h. Maria t’a préparé ton dîner. Regarde la Trois : Il y a ton film fétiche, Casablanca !

 

Un peu plus tard dans la soirée

Ingrid Bergman : Play it again, Sam !

Le portable de Marie-France sonne.

Marc : Bonsoir Alexandra, votre fille est sortie en oubliant son portable !

Alexandra : Ah zut, j’avais quelque chose d’important à lui dire !

Marc : Elle est à son club de bridge. Je vais appeler le club pour qu’elle vous rappelle.

Alexandra : Vous êtes bien gentil, Marc !

Marc : Bonsoir, Marc Vigier !

La réception du club de bridge : Bonsoir, Monsieur Vigier !

Marc : J’ai un service à vous demander : pouvez-vous dire à ma femme de rappeler sa mère ? C’est urgent.

La réception du club de bridge: Ah, je suis désolée, mais Madame Vigier ne joue pas, ce soir !

 

En fin de soirée.

Marie-France: Je te réveille ?

Marc : Bonne soirée ?

Marie-France: Pas terrible ! J’ai joué comme un manche.

Marc : Tiens, tu avais oublié ton portable. A propos, ta mère a essayé de te joindre. Ca avait l’air urgent.

Marie-France : Oh, avec elle, c’est toujours urgent. Je la rappellerai demain.
Je vais me coucher, je suis crevée ! 

 

Quelques jours plus tard dans le métro

La jolie voyageuse: Bonjour ! Je suis fauchée, je peux juste vous donner un ticket restaurant.

Marc : C’est trop gentil, mais je ne voudrais pas que vous vous priviez pour moi !

Un lecteur au hasard : Désolé d’interrompre cette BD. Je ne vois pas le rapport avec l’assurance !

Maurice SALVATOR : Mais si ! Cette BD raconte une histoire de sinistre RC mal assuré, indissociable d’évènements personnels.

 

Plus tard, au bureau

La secrétaire : Oh, ça n’a pas l’air d’aller, vous !

Marc : Comment voulez-vous que ça aille ? En plus du préavis de grève, on a le retard de la nouvelle presse plieuse, et puis j’ai à régler le conflit entre les cadres qui se chamaillent comme des gamins à l’école !
Tiens, à propos des cadres, il faudra bien préciser à Henri que lors de la réunion, j’attends de leur part des propositions concrètes pour améliorer le climat social !

Marie-France (au téléphone) : Je t’appelle en vitesse pour te dire que je suis retenue à un vernissage ce soir. Ne m’attends pas pour dîner !

 

Le soir, au restaurant.

Le serveur : Des problèmes avec la choucroute, Monsieur Vigier ?

Marc : Elle est parfaite, comme d’habitude. C’est moi qui n’ai pas d’appétit, ce soir.

Au moment de payer l’addition, Marc trouve dans son portefeuille le ticket restaurant. Son regard s’attarde dessus.

 

Quelques jours plus tard, dans le métro, Marc voit s’avancer vers lui la jeune femme.

La jeune femme : J’ai touché mes ASSEDIC, je peux vous offrir un verre !

Assis à une table de café, la jeune femme livre à Marc quelques bribes de sa vie.

La jeune femme : Quant à mon travail, ce n’est pas plus glorieux : j’ai été virée de mon job d’assistante sociale d’entreprise par un patron qui se fiche de son personnel. Aujourd’hui, je suis une formation, d’où mes trajets dans le métro.

Un peu plus tard, au moment où la jeune femme s’absente un instant, Marc découvre son adresse sur un document qu’elle a laissé sur la table.

La jeune femme : Je dois vous quitter, maintenant. Au fait, je m’appelle Estelle.

Marc : Moi, c’est Jean.

Estelle : Alors à bientôt, Jean ! La prochaine fois, vous me parlerez un peu de vous ?

Le lendemain, réunion chez VIGIER S.A.

Marc : Ca va bientôt faire une heure qu’on cause, mais il n’en sort pas grand-chose de concret !

A la fin de la réunion, alors que tous les salariés quittent la salle, aparté entre Marc et Henri.

Marc : Qu’en pensez-vous, Henri ?

Henri : Rien de bon . Je crois que nous aurions besoin d’une intervention extérieure.

Marc : C’est bien mon avis. Prenez contact avec cette jeune femme et faites en sorte de l’embaucher. Elle me semble compétente et je sais qu’en ce moment elle est disponible.

Henri : Comment suis-je censé la connaître ?

Marc : Quand elle vous posera la question, restez évasif. « Quelqu’un vous a dit du bien d’elle ! »

Deux mois plus tard

Henri : Elle est géniale votre Estelle ! En à peine deux mois, elle a réussi à apporter aux salariés des avantages importants, sans que ça ne coûte un euro à l’entreprise, et même en lui faisant faire des économies. Son expertise en assurances nous a permis notamment d’obtenir chez GESCO des garanties de complémentaire santé bien meilleures et pour moins cher, ce dont les salariés sont très contents.

Un lecteur au hasard : Enfin, nous y voila ! Vous en aurez mis du temps à parler d’assurances !

Maurice Salvator : Tout vient à point… et ce n’est pas fini !

Henri : Ah si, un petit bémol, quand même ! Elle a parfois tendance à en faire un peu trop.

Marc : Par exemple ?

Henri : Paul, le cariste. Il a un gros problème de dos, le médecin du travail veut le mettre inapte, et lui, alors qu’il est à un an de la retraite, il en fait une maladie, d’arrêter.
Et bien Estelle, sans même m’en parler, a pris discrètement contact avec le toubib, pour plaider sa cause. Ce n’est pas son rôle !
A part ça, elle râle comme un pou de ne pas être reçue par la haute direction, comme elle dit avec un peu d’ironie.

Marc : Ca ne me dérange pas qu’elle me critique. Au contraire, ça donne confiance aux salariés.

Henri : Mais tiens, quand on parle du loup.

Estelle : Bonjour messieurs. 

Marc : Bonjour madame.

Henri : Vous êtes enroué ?

Marc : Oui. Un courant d’air dans le métro.

Henri : A bon, parce que vous prenez le métro, maintenant ? Je ne vous aurais jamais cru capable de ça !

Marc : Il faut savoir vivre dangereusement ! Remarquez, comme disait François Hollande, les sans-dents, ça ne peut pas mordre. Tiens, à propos, vous saviez qu’il n’y a plus qu’une classe, aujourd’hui ?

Un quart d’heure plus tard

Une collègue d’Estelle : Et toi, tu viens comment ?

Estelle : Métro et RER, que je prends Gare du Nord.

…ce qui n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, Marc ayant une excellente audition.

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