« Suite au prochain numéro » ou l’histoire vraie d’un faux sinistre RC – Chapitre 3
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Interview de Maurice SALVATOR dans "Le tête à tête Décideurs" sur BFM TV
Un sinistre RC Pro, raconté en BD
Découvrez « Suite au prochain numéro », une histoire romancée signée GESCO Assurances. Cette BD inspirée d’un sinistre en Responsabilité Civile Pro (RC Pro) illustre comment un événement banal peut vite devenir un vrai casse-tête assurantiel !
Rappel des chapitres précédents :
PDG de VIGIER S.A., équipementier automobile en difficulté à cause d’un sinistre R.C. mal assuré, Marc se remémore un épisode de sa vie privée au cours de laquelle il se fait passer pour un S.D.F. jouant de la guitare dans le métro. Un épisode qui, curieusement, allait peut-être sauver son entreprise.
Contrarié par ailleurs par l’infidélité supposée de sa femme, il fait connaissance, dans le métro, d’une jeune femme avec laquelle il sympathise.
Quelques jours plus tard, dans le métro, Marc voit s’avancer vers lui la jeune femme.
La jeune femme : J’ai touché mes ASSEDIC, je peux vous offrir un verre !
Assis à une table de café, la jeune femme livre à Marc quelques bribes de sa vie.
La jeune femme : Quant à mon travail, ce n’est pas plus glorieux : j’ai été virée de mon job d’assistante sociale d’entreprise par un patron qui se fiche de son personnel. Aujourd’hui, je suis une formation, d’où mes trajets dans le métro.
Un peu plus tard, au moment où la jeune femme s’absente un instant, Marc découvre son adresse sur un document qu’elle a laissé sur la table.
La jeune femme : Je dois vous quitter, maintenant. Au fait, je m’appelle Estelle.
Marc : Moi, c’est Jean.
Estelle : Alors à bientôt, Jean ! La prochaine fois, vous me parlerez un peu de vous ?
Le lendemain, réunion chez VIGIER S.A.
Marc : Ca va bientôt faire une heure qu’on cause, mais il n’en sort pas grand-chose de concret !
A la fin de la réunion, alors que tous les salariés quittent la salle, aparté entre Marc et Henri.
Marc : Qu’en pensez-vous, Henri ?
Henri : Rien de bon . Je crois que nous aurions besoin d’une intervention extérieure.
Marc : C’est bien mon avis. Prenez contact avec cette jeune femme et faites en sorte de l’embaucher. Elle me semble compétente et je sais qu’en ce moment elle est disponible.
Henri : Comment suis-je censé la connaître ?
Marc : Quand elle vous posera la question, restez évasif. « Quelqu’un vous a dit du bien d’elle ! »
Deux mois plus tard
Henri : Elle est géniale votre Estelle ! En à peine deux mois, elle a réussi à apporter aux salariés des avantages importants, sans que ça ne coûte un euro à l’entreprise, et même en lui faisant faire des économies. Son expertise en assurances nous a permis notamment d’obtenir chez GESCO des garanties de complémentaire santé bien meilleures et pour moins cher, ce dont les salariés sont très contents.
Un lecteur au hasard : Enfin, nous y voila ! Vous en aurez mis du temps à parler d’assurances !
Maurice Salvator : Tout vient à point… et ce n’est pas fini !
Henri : Ah si, un petit bémol, quand même ! Elle a parfois tendance à en faire un peu trop.
Marc : Par exemple ?
Henri : Paul, le cariste. Il a un gros problème de dos, le médecin du travail veut le mettre inapte, et lui, alors qu’il est à un an de la retraite, il en fait une maladie, d’arrêter.
Et bien Estelle, sans même m’en parler, a pris discrètement contact avec le toubib, pour plaider sa cause. Ce n’est pas son rôle !
A part ça, elle râle comme un pou de ne pas être reçue par la haute direction, comme elle dit avec un peu d’ironie.
Marc : Ca ne me dérange pas qu’elle me critique. Au contraire, ça donne confiance aux salariés.
Henri : Mais tiens, quand on parle du loup.
Estelle : Bonjour messieurs.
Marc : Bonjour madame.
Henri : Vous êtes enroué ?
Marc : Oui. Un courant d’air dans le métro.
Henri : A bon, parce que vous prenez le métro, maintenant ? Je ne vous aurais jamais cru capable de ça !
Marc : Il faut savoir vivre dangereusement ! Remarquez, comme disait François Hollande, les sans-dents, ça ne peut pas mordre. Tiens, à propos, vous saviez qu’il n’y a plus qu’une classe, aujourd’hui ?
Un quart d’heure plus tard
Une collègue d’Estelle : Et toi, tu viens comment ?
Estelle : Métro et RER, que je prends Gare du Nord.
…ce qui n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, Marc ayant une excellente audition.
Suite au prochain numéro !